Tous les ans c’est la même chose : on démarre l’année plein de bonnes intentions. On se dit qu’on va la rentabiliser cette fois sa carte UGC, comme au bon vieux temps où on en avait suffisamment pour voir sa centaine de films par an. Les premières semaines cela fonctionne plutôt bien, puis on rate un film, puis deux, puis les sollicitations de toute part, professionnelles ou non, nous éloignent…